Premier film réalisé par Tom Hanks, l’irrésistible « That Thing You Do ! » nous ramène avec humour, élégance et un rythme débridé vers une époque (1964) où l’innocence la plus totale régnait sur une jeunesse américaine pas encore été ravagée par le cynisme et les désillusions des années 70. Tom Hanks mélange rock, jazz, satire et comédie loufoque avec bonheur dans un « petit » film culte qui se revoit en boucle…
Archive de la catègorie Les Plaisirs Coupables
Les Plaisirs Coupables… Le Casse (1971)

Joyeux vestige d’une époque révolue où le cinéma populaire français à grand spectacle ne se vautrait pas dans l’infantilisme et la vulgarité, le pétaradant « Le Casse », d’Henri Verneuil, tourné dans les rues ensoleillées d’Athènes, est l’un de ces plaisirs coupables encore décuplé par l’irrésistible affrontement entre un Jean-Paul Belmondo au sommet de son art et un Omar Sharif, heureux de jouer les ordures.
Les Plaisirs Coupables… Dreamscape (1984)

Sorti deux mois avant A Nightmare On Elm Street (Les Griffes de la Nuit), Dreamscape est souvent considéré comme le parent pauvre du film de Wes Craven. C’était sans compter sur le sourire éclatant de Dennis Quaid, le sex appeal de Kate Capshaw, la moumoute de Max Von Sydow et une série de séquences oniriques inventives, tour à tour surréalistes, terrifiantes ou érotiques. Jonglant brillamment avec les genres, Dreamscape est une sucrerie irrésisitible en direct des années 80!
Les Plaisirs Coupables : La Valise (1973)

La Cinémathèque de Bruxelles continue son exploration de l’oeuvre passionnante et éclectique du regretté Georges Lautner. En 1973, le réalisateur s’associait au scénariste vedette Francis Veber et envoyait Jean-Pierre Marielle et Michel Constantin en mission en Libye, où ils tombaient sous le charme de Mireille Darc. Le résultat? Un précurseur des OSS 117 avec Jean Dujardin, politiquement incorrect et hilarant…
Les plaisirs coupables… Psychomania (1973)

Les Plaisirs Coupables… Sleepwalkers (La Nuit Déchirée, de Stephen King)

Votre chaton est plein de de vie et ça Kwiskas l’a compris… Stephen King aussi, puisqu’en 1992 avec sa « Nuit Déchirée », il fait de nos gentils chatons la menace ultime dans un face à face à base de pelotes de laine. Ou presque… Ça valait bien une nouvelle rubrique intitulée « Les Plaisirs Coupables »…